
L’intersyndicale CFDT, CFTC, CGT, FO et le SNETOSSA CFE-CGC revendique depuis de nombreux mois :
- La compensation de la perte du pouvoir d’achat par une augmentation significative de la valeur du point au 1er janvier 2023 qui, a minima, tienne compte du niveau d’inflation.
- L’attribution d’enveloppes budgétaires spécifiques permettant entre autres, la revalorisation des coefficients, la reconnaissance des compétences et le déroulement de carrière, communiquées en amont de l’ouverture des négociations portant sur les trois classifications des emplois et des rémunérations, Employés et Cadres, Praticiens Conseils et Agents de Direction. La classification Employés et Cadres a 20 ans et est en total décalage avec les besoins des salariés et des organismes de Sécurité sociale.
- Le relèvement de la part employeur à 60% dans le financement de la complémentaire santé, avec un budget complémentaire de 34 millions d’Euros soit 0,6% de la masse salariale.
Pour continuer à soutenir la plateforme revendicative et nos actions et réclamer que la première ministre nous reçoive, nous mettons en place une pétition en ligne.
Pour accéder à la pétition, cliquez ICI.
Soyons nombreux à la relayer pour qu’elle soit signée massivement afin de défendre les revendications vis-à-vis du gouvernement et de l’employeur.
Vous trouverez également le tract intersyndical annonçant le lancement de la pétition ci-dessous.
La compensation de la perte du pouvoir d’achat par une augmentation significative de la valeur du point au 1er janvier 2023 qui, a minima, tienne compte du niveau d’inflation.
•
L’attribution d’enveloppes budgétaires spécifiques permettant entre autres, la revalorisation des coefficients, la reconnaissance des compétences et le déroulement de carrière, communiquées en amont de l’ouverture des négociations portant sur les trois classifications des emplois et des rémunérations, Employés et Cadres, Praticiens Conseils et Agents de Direction. La classification Employés et Cadres a 20 ans et est en total décalage avec les besoins des salariés et des organismes de Sécurité sociale.
•
Le relèvement de la part employeur à 60% dans le financement de la complémentaire santé, avec un budget complémentaire de 34 millions d’Euros soit 0,6% de la masse salariale.